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Lors de l’atelier du jeudi 17 octobre, Baptiste BOUDEAU vous présente une synthèse de ses recherches sur le sujet passionnant de l’intelligence artificielle. Merci à mon ami Marc Erignoux (voir référence plus bas). L’actualité ne parle que d’elle, en bien et en mal. Alors, doit on s’en inquiéter ?

Table des matières

Thème : L’IA , l’intelligence artificielle, où est-elle ? A quoi sert-elle ? Comment fonctionne-elle ?

Introduction

Comment fonctionne-elle ?  machine learning / deep learning

L’IA , l’intelligence artificielle, oû est-elle ? A quoi sert-elle ?

Comment l’utiliser ?

Mais doit on s’en enquiéter ?

L’ia dans la littérature :

Facebook : retour sur la création de compte

2. S’inscrire sur Facebook avec la nouvelle adresse e-mail

Libérer de la place sur son smartphone

Liste de Questions /réponses sur vos difficultés rencontrées sur votre smartphone, ordi ou tablette.

Prochain thème que l’on pourrait développer

 Thème : L’IA , l’intelligence artificielle, où est-elle ? A quoi sert-elle ? Comment fonctionne-elle ?

Voir Références : Article de Marc Erignoux :

Article de Marc Erignoux

Introduction

En mai 1997, le supercalculateur d’IBM deep blue, sous sa version deeper blue bat le champion du monde  Garry Kasparov.

DeepBlue est alors capable d’évaluer jusqu’à 200 millions de positions possibles par seconde grâce à sa base de données constituée de toutes les parties d’échecs du XXe siècle, y compris celles de Kasparov.

En mars 2016, Alpha Go Lee battait Lee Sedol, un des meilleurs joueurs de Go au monde, puis dans sa version Master, elle battait le champion du monde Ke Jie en mai 2017. Désormais, sa version Zero sait apprendre seule, joue à un niveau « super-humain », et peut seulement être battue par une autre IA (qui n’existe pas encore). Après avoir redécouvert seule les coups classiques connus par les joueurs humains, elle les a améliorés, puis elle a inventé les siens, et peut désormais nous apprendre à mieux jouer, comme les maitres enseignent à leurs élèves.

Mi-août 2017, l’IA d’Elon Musk a battu les champions de DotA 2, le jeu multi-joueurs le plus joué au monde en 2016, où 2 équipes de 5 joueurs doivent agir très vite en ayant une vision partielle du champ de bataille, et utiliser efficacement leurs pouvoirs et contrer ceux des adversaires, choisis parmi une large palette. Le défi était plus grand que le Go : jeu en équipe + diversité de coups possibles bien plus grande , plus de réactivité en temps réel, plus de vision partielle du terrain. Google et Deep Mind ont réussi avec Alpha Star  à battre les champions à Starcraft en 2019, un jeu où on doit bâtir son armée et l’envoyer au combat.  Ce jeu demandant de la stratégie, c’est spectaculaire, des capacités proches d’un excellent humain.

DeeMind nous singe :

Le travail de DeepMind a commencé par une collecte de données. L’entreprise s’est appuyée sur des parties anonymisées jouées par de vraies personnes pour injecter des informations de manière à superviser l’apprentissage de l’IA. « Cela a permis à AlphaStar d’apprendre, par imitation, les micro et macro-stratégies de base utilisées par les joueurs dans StarCraft ».

Comment fonctionne-elle ?  machine learning / deep learning

Le terme « machine learning » désigne les algorithmes (programme informatique) par lesquels la machine « apprend » des choses qui n’ont pas été explicitement programmées, i.e. Pour lesquels le programmeur n’a pas programmé explicitement « si on tombe dans tel cas, alors produire tel résultat »

Il est un peu galvaudé, car il ne s’agit pas d’un apprentissage au sens humain du terme. Il s’agit de techniques statistiques, basées sur l’analyse des données, qui se classent en 2 catégories :

les algorithmes supervisés (l’algorithme doit d’abord « apprendre », c’est-à-dire se calibrer, à partir de jeux de données pour lesquels les résultats sont connus, et le jeu des meilleurs)

et non supervisés (l’algorithme est fait pour se débrouiller tout seul).

Quand on parle d’IA, on parle uniquement de « deep learning », i.e. De réseaux de neurones complexes ayant un grand nombre de couches.

Nous allons voir qu’en un sens, un réseau de neurones acquiert la compréhension de ce qu’il fait. 

Les modèles de réseaux de neurones les plus simples existent depuis les années 1940 et perfectionné dans les années 1970.

Voici une représentation graphique de l’algorithme d’itération, baptisé « gradient descent », qui est valable pour un seul neurone à la fois. La courbe en 3D s’appelle la « cost function ».

« backpropagation » découverte en 1986 par Geoffrey Hinton trouver le minimum de la « cost function ».

chaque nœud d’un réseau de neurone fait des calculs complexes, et plus réseau est profond, plus grand est le besoin en puissance de calcul et en mémoire .

Jusque 2000 – 2010, c’était uniquement réservé à la recherche scientifique, faute de place et de mémoire. Deep blue pesait une tonne 4. Mais depuis quelques années, la puissance de calcul disponible permet à l’industrie de mettre en pratique ces algorithmes.

Il est à noter que les résultats progressent extrêmement vite, en grande partie grâce à l’amélioration des algorithmes. En définitive, la puissance de calcul permet de tester davantage d’idées, et de sélectionner plus rapidement les meilleures.

Aujourd’hui Les cartes graphiques et leur GPU (Graphical Processing Unit)  sont appropriées pour effectuer des calculs mathématiques. Ces cartes sont spécialisées dans les calculs matriciels à virgule flottante, ce qui est parfait pour les réseaux de neurones. La prochaine génération est la RTX 5000 de chez Nvidia.

Puis aujourd’hui, la société chinoise Qualcomm  sort la puce snapdragon X – NPU (Neural Process Unit) – Puce d’accélération de réseau de neurone

Elle est complémentaire aux autres unités d’un ordinateur et se spécialise dans le traitement de ces réseaux : La reconnaissance d’images et le traitement du langage sont les domaines où les processeurs NPU excellent

https://www.lesnumeriques.com/informatique/qu-est-ce-qu-un-npu-et-a-quoi-va-t-il-servir-dans-l-informatique-du-futur-a223845.html

Soc (système sur une puce electronique (system on a chip en anglais)) = CPU + NPU + GPU = union pour une nouvelle génération de machines

L’IA , l’intelligence artificielle, oû est-elle ? A quoi sert-elle ?

-Dans les voitures qui se conduisent seules : Google Car, Uber…

-En imagerie médicale :

Analyse des  lésions de la peau, mais c’est vrai pour tous les sujets (radiographies, prédictions des risques de cancer, Alzeimer, etc…) :

-Dans notre smartphone, tablette, ordinateur :

Avec les assistants de langage naturel comme siri (iphone), cortana devenu copilot (windows), google assistant devenu Gemini, ou Alexa chez Amazon

Les traducteurs et analystes de langages, nombreux et variés

Aujourd’hui : ces assistants de langages sont à la mode avec l’avènement de chat gpt d’open ai

Financée par Microsoft.

Microsoft et son copilot intégrant le moteur Chat GPT.

La société Neo zelandaise soul-machine avec des assistants doués d’empathie. Jamais fatigués

-Dans l’industrie, deep green (clin d’œil à deep blue) et son analyse quantique des matériaux,

La recherche et la découverte de  la structure de plus de 2 millions de nouveaux matériaux avec Deep Mind  chez Google, une avancée qui pourrait bientôt être utilisée pour améliorer les technologies du monde réel.

Les applications potentielles de cette recherche comprennent la production de batteries, de panneaux solaires et de puces informatiques plus performants. C’est un acteur majeur du futur.

-reconnaissance d’image et traitement de l’image

-dans le domaine de la météo et les prévisions :

Google Deepmind sidère en surpassant tous les modèles météorologiques actuels en précision

-dans le domaine de l’armée :

L’IA militaire de manière intensive pour la surveillance et la reconnaissance, la prévention des attaques et l’assistance au commandement. Elle est également utilisée pour le contrôle de drones et de robots, ainsi que pour la gestion de l’approvisionnement et de la logistique.

Encore balbutiante dans le domaine nucléaire, elle s’oriente vers des systèmes d’attaque et de défense encore plus précis.

Comment l’utiliser ?

Avec une ia llm / nlp (large language model) / Natural language processing  ,  ou traitement  du langage naturel,  avec notamment Chat gpt (generated Pretrained Transformer), l’IA analyse et  comprend les langages humains, et répond à nos questions de plus en plus intelligemment

Dans copilot basé sur chat gpt  et présent dans Microsoft office, on précise des ordres : fais-moi un résumé des mails reçus aujourd’hui, prépare moi un planning pour la semaine prochaine,  écrit un email avec un ton amical. On peut également ne pas assister à certaines réunions Visio et demander une synthèse.

Avec Clipchamp, je peux générer des sous titres fidèles à quelques notes près, avec Paint je peux demander de générer une image selon une inspiration et une technique de dessin.

Ce sont des outils pour améliorer la transformation de l’information et ainsi sa production.

Ou encore soul machine, on a désormais un studio qui crée des coachs pour apprendre plein de choses, l’anglais, l’espagnol, préparer sa présentation…

https://www.soulmachines.com/

Dans le domaine de l’apprentissage.

D’autre IA , comme flow machine, aident à la création.

Avec flow machine, les artistes demandent de l’aide à l’IA pour donner des idées « from scratch »

Ou partir d’une base musicale et l’améliorer.

Musique

https://www.flow-machines.com/

Dady’s car , première vraie musique pop crée par l’IA qui s’inspire des Beatles.

Ce que disent les artistes qui utilisent le studio de soul-machine :

Les IA sont pré entrainées en super vision, elles sont conditionnées à bien agir, et c’est là que c’est important, ce contrôle pour agir de façon bienveillante.

Mais doit on s’en enquiéter ?

Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, et Elon Musk, PDG de SpaceX, Tesla, fondateur de Paypal, coprésident de OpenAI, se sont affrontés par tweets, sur le thème « faut-il avoir peur de l’IA ? » en évoquant la « singularité », ce moment où l’IA deviendra consciente et autonome. Bien que leurs sociétés investissent massivement dans cette technologie, le 1er pense que l’IA est bénéfique, alors que le 2nd pense que nous devons nous en méfier.

Yann le Cun, inventeur français d’une nouvelle génération de système de neurone (en 1999, les  réseaux convolutifs, qui travaillent en 2 dimensions, plus efficaces dans l’analyse d’images), se veut plutôt rassurant aujourd’hui en parlant des outils de langages naturels actuels :

C’est de la régurgitation et du par cœur, et ils font appel à une bonne calculatrice

28 :20 = ce n’est pas vraiment intelligent, c’est conversationnel

Les risques de l’IA sont variés : la confidentialité des données, l’utilisation malveillante pour attaquer, et l’évolution des attaques par phishing.

Des IA capables de récupérer les mots de passe existent, les attaques peuvent être massives.

De même que les IA générant des messages de plus en plus cohérents, ainsi que des vidéos ou des messages vocaux et des emails très convaincants.

Pour s’en prémunir, soyons vigilants sur les messages urgents de mandant de l’argent ou des informations et pensons à l’authentification à multi facteur, rendant ainsi plus difficile pour les cybercriminels d’accéder sans autorisation aux comptes et aux systèmes

La confidentialité des données est ici un risque important.  La position de l’Europe et de la France est plus modérée que les Etats Unis ou la Chine dans la matière. En effet, concernant le dernier assistant d’IA de Meta incluant le chatbot Meta AI (la boite de Facebook et Instagram, whatsapp), l’Europe et son gendarme Irlandais refusent son déploiement sur la marché européen, alors que 43 autre pays l’approuvent.

L’Europe met en place de nombreux contrats informant les utilisateurs des risques de perte d’informations privées, le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) et les lois informatiques et liberté sont des standards dans le domaine juridique du numérique en France.

 L’Information Commissioner’s Office (ICO), l’autorité britannique, s’est également félicitée de cette suspension. « Afin de tirer le meilleur parti de l’IA générative et des opportunités qu’elle offre, il est crucial que le public puisse être sûr que son droit à la vie privée sera respecté dès le départ.

Pour avoir un assistant « de qualité », Meta n’hésite pas à collecter et à réutiliser les données personnelles de ses utilisateurs, n’ayant que faire de leur vie privée

Concernant l’IA militaire également, l’armée française a adopté une approche plus prudente en ce qui concerne l’utilisation de l’IA militaire. Elle a mis en place une stratégie de recherche et de développement de l’IA qui vise à renforcer ses capacités en matière de surveillance et de reconnaissance, tout en veillant à respecter les principes éthiques et les normes de responsabilité. L’armée française utilise également l’IA pour le contrôle de drones et de robots et pour la gestion de l’approvisionnement et de la logistique, mais à un niveau moins important que les autres grandes armées du monde.

Concernant l’arme nucléaire, sujet sensible actuellement, historiquement le développement de l’IA va dans le sens du ciblage amélioré, donc de développer moins d’armes nucléaires, mais des armes plus précises. Les systèmes d’IA permettent également l’amélioration et la précision de la défense nucléaire.

L’objectif de ces améliorations n’est pas de promouvoir l’utilisation des armes nucléaires. Au contraire, ces nouvelles capacités permettent de rendre la dissuasion plus crédible et sont compatibles avec la doctrine nucléaire traditionnelle. L’IA n’est qu’un outil stratégique, à l’instar des armes nucléaires proprement dites.

Il ne faut pas introduire l’IA par principe et il faut être prudent, car, dans ce domaine, la science n’en est qu’à ses balbutiements. Les experts du secteur de la défense et de l’IA devraient être entendus sur le sujet, pas seulement les dirigeants d’entreprises d’IA. Des ingénieurs, des universitaires, des officiers et des avocats-conseils devraient également être interrogés sur ce sujet.

Prudence est de mise pour les législateurs et hommes politiques qui sortent des nouveaux textes de lois !!

Afin d’avoir les idées claires sur l’IA, il faut savoir comment elle fonctionne, et quelles en sont les limites actuelles. Cela permet de mesurer l’énorme chemin à parcourir avant que nous puissions créer des IA fortes, c’est-à-dire qui soient non seulement capables de produire un comportement intelligent, mais d’éprouver une impression d’une réelle conscience de soi, de « vrais sentiments » (quoi qu’on puisse mettre derrière ces mots), et « une compréhension de ses propres raisonnements ».

Voir Références : Article de Marc Erignoux :

https://procdk.com/?p=71

L’ia dans la littérature :

« Klara et le Soleil », de Kazuo Ishiguro

De quoi ça parle ?

Ce roman d’anticipation raconte l’histoire de Klara, une androïde destinée à tenir compagnie aux enfants et aux adolescents. Depuis la vitrine de son magasin, Klara observe les passants en espérant secrètement que quelqu’un l’adopte. Mais quand le grand jour arrive enfin, la réalité ne se révèle pas à la hauteur de ses espérances.

Pour vous placer du point de vue d’une IA** pour comprendre comment les machines nous perçoivent.

 « La fin de l’individu » de Gaspard Kœnig

De quoi ça parle ?

De Pékin à Washington en passant par Tel-Aviv, le philosophe Gaspard Kœnig nous emmène à la rencontre des 120 plus grands spécialistes de l’IA. Le résultat : une enquête philosophique à la croisée des genres et des sciences qui foisonne d’anecdotes éclairantes et de points de vue singuliers sur le sujet

En quoi est-ce intéressant ?

Tout en s’attachant à démystifier son objet d’étude avec humour, Gaspard Kœnig vous permettra de vous faire une idée à la fois précise et concrète des visions du monde qui se cristallisent autour de l’IA.

« Génération I.A » d’Alexandre Pachulski

De quoi ça parle ?

Dans cet ouvrage colossal, l’entrepreneur du numérique Alexandre Pachulski a choisi de compiler et de décrypter 80 œuvres cinématographiques traitant du thème de l’intelligence artificielle. Chaque film ou série fait l’objet d’une critique où l’auteur met en lumière les enjeux relatifs à l’IA.

En quoi est-ce intéressant ?

La compilation d’Alexandre Pachulski constitue une référence pour tout cinéphile amateur de science-fiction. Elle vous offre un panorama exceptionnel des œuvres qui ont contribué, depuis les origines du cinéma et de la série télévisée jusqu’à nos jours, a forgé notre imaginaire de l’IA.

« I.A 2042 » de Kai-Fu Lee et Chen Quifan

 « Des Robots et des Hommes » de Laurence Devillers

une excellente synthèse de l’état de l’art en matière de robotique

 « Vers un numérique responsable » de Vincent Courboulay

Dans cet essai politique, le fondateur de l’Institut du Numérique responsable explore les conséquences sociales et écologiques de la révolution numérique sur nos démocraties. L’ingénieur français pose notamment sur la table les questions éthiques suscitées par l’intégration de l’IA dans nos sociétés

En quoi est-ce intéressant ?

Comment responsabiliser nos usages numériques ? L’émergence d’une intelligence artificielle responsable est-elle techniquement possible ? À travers ces questionnements, Vincent Courboulay vous invite à repenser vos rapports aux nouvelles technologies comme des citoyens.

« Nous les Robots » d’Isaac Asimov

une lecture incontournable pour tout lecteur de science-fiction, notamment en raison de galerie géniale de robots

Un site français qui parle de l’IA :

Facebook : retour sur la création de compte

Facebook et l’anonymat :

Pas évident, on en est conscient que la défense de la vie privée est un obstacle et un risque.

Remarque : vous devez avoir au moins 13 ans pour pouvoir créer un compte Facebook.

  1. Pour finaliser la création de votre compte, vous devez confirmer votre adresse e-mail ou votre numéro de mobile.

Naviguer incognito sur Facebook implique l’usage d’une fausse identité. Ainsi, pour créer un profil anonyme, il vous faut impérativement une nouvelle adresse e-mail. Vous ne pouvez pas utiliser une boîte électronique déjà existante pour la démarche. Facebook est en mesure de relier votre nom réel à votre compte anonyme.

De ce fait, l’e-mail que vous devez créer ne doit pas contenir vos vraies données personnelles. Notez que vous pouvez utiliser n’importe quel service de messagerie électronique gratuite (gmail, ymail, outlook…). Le plus important est de veiller à ce que votre adresse e-mail ne comporte pas vos réelles informations. Après l’avoir créée, vous pouvez passer à l’étape suivante qui est celle de l’inscription sur Facebook anonyme et ainsi limiter les risques de vous faire pirater votre vrai compte.

VOIR AUSSI : Comment mettre son compte Instagram en privé ?

2. S’inscrire sur Facebook avec la nouvelle adresse e-mail

D’ordinaire, l’inscription sur le réseau social Facebook s’effectue avec un numéro de téléphone ou une adresse e-mail. Lorsque vous souhaitez rendre votre profil anonyme, il est recommandé de faire votre inscription avec un e-mail. En effet, l’utilisation de votre numéro de téléphone compromet le but d’avoir un compte anonyme sur le réseau social. Dès l’instant où vous le faites, Facebook accédera à votre répertoire téléphonique.

Votre compte est ainsi créé. À cette étape, Facebook vous demande probablement d’accorder l’accès à vos contacts. Vous devez simplement cliquer sur « Non » pour rejeter l’offre.

3. Sélectionner une photo de profil anonyme et commencer les ajouts

5. Petites remarques concernant les comptes Facebook anonymes

Pour les comptes anonymes, Facebook réclame régulièrement une confirmation avec un numéro de téléphone. Ainsi, à chaque fois que vous vous connectez sur votre profil anonyme, vous aurez toujours une notification de confirmation. N’accédez jamais à la demande si vous souhaitez garder votre compte anonyme.

Libérer de la place sur son smartphone

1) faire le point sur l’utilisation des données

A/ 2 méthodes

Paramètres / maintenance de l’appareil / Stockage

Mes fichiers / Gestion du stockage

B/ identifier ce qui prend de la place/ Les unités de mesure du poids en numérique

Souvent, il est possible de libérer de la place avec :

-les applications non utilisées

-les photos / videos qui sont gourmandes en place

2) Comment libérer les applications ?

-applications inutilisées

-ou supprimer par le playstore ou les paramètres d’application ou appuyer longuement sur l’icône d’application et désinstaller

-les photos et videos.

Montrer comment faire avec un cable et un ordinateur

Avec un cloud. Plus compliqué pour le commun des mortels.

Il faut avoir assez d’espace pour tout contenir sur ce cloud.

Je le deconseille pour un débutant

LE principe est de synchroniser sur le cloud avec google photo. Puis de supprimer

Les photos/video de la galerie puis vider la corbeille

3) Récupérer les données du cloud avec l’ordinateur ?

4) les applications de nettoyage : ccleaner en version gratuite / pas la version payante pro

Au passage, cette application peut etre payante, comment le detecter ?

Supprimez les fichiers indésirables, récupérez de l’espace, surveillez votre système et naviguez en toute sécurité.


Récupérez de l’espace de stockage
● Désinstallez les applications indésirables en toute rapidité et simplicité
● Libérez de l’espace de stockage sur votre appareil

Il analyse et vous conseille.

Attention à bien fermer les pubs ne pas souscrire à la version pro.

Sinon A vous de vois, elle est sans pub et pas chere

Mais attention en prenant un abonnement depuis le telephone

Liste de Questions /réponses sur vos difficultés rencontrées sur votre smartphone, ordi ou tablette.

Prochain thème que l’on pourrait développer

Applications de cération d’album et de partage avec la famille en toute confidentialité :

https://family-album.com/fr

et d’autres outils du genre que l’on abordera en atelier

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